Luxor Lighting s’est engagé à participer de façon active au Conseil de Développement du Grand Angoulême, afin de s’ancrer de manière plus importante et plus significative sur son territoire. Fort du bénéfice de la participation citoyenne et de la concertation entre citoyens et acteurs, et face au constat d’un territoire marqué par des mutations, mais dont la population est vieillissante et connait la précarisation, le Conseil de Développement a lancé plusieurs groupes de réflexions pour obtenir des avis et apporter de la valeur ajoutée aux élus du Grand Angoulême.
Dans ce cadre-là, Luxor Lighting a intégré le groupe-projet « réseau de la participation citoyenne » le 18 octobre 2016. Ce groupe s’inscrit dans la suite du premier groupe-projet ayant réfléchi sur « comment renouveler la démocratie locale, aux actes citoyens ! ? » et de l’avis sur la charte de la participation citoyenne en 2016.
En effet, la politique ne se « fabrique » plus seulement dans nos institutions politiques, elle est désormais participative. Il est par conséquent nécessaire de lier la démocratie élective à la démocratie citoyenne. Pour cela, il faut reconnaitre au citoyen sa capacité à délibérer et à faire part de ses expériences pour le service du bien commun.
Pourquoi ce réseau ? Un réseau de la participation citoyenne, pour, dans un premier temps, être un lieu d’échange d’expériences, d’apports de connaissances, d’informations, de débat d’idées puis devenir, dans un second temps, un levier à la fondation d’une université d’éducation populaire ayant pour objectif de mieux informer et former les citoyens.
Pour cela, il faut :
- Avoir un diagnostic, une cartographie, un état des lieux des « pratiques » citoyennes sur le Grand Angoulême…
– Afin de connaître comment ça circule et s’articule, quels sont les points autonomes, les interactions et comment sortir de l’entre soi. Est-ce que tout ça peut faire réseau ?
– Afin d’être un laboratoire, et non pas seulement un lieu de recensement. Il doit permettre de tisser des liens, d’échanger des savoirs.
2.Pour pouvoir être le lieu de préfiguration de l’expérimentation de l’université d’éducation populaire. Elargir à tous ceux qui veulent partager des besoins, des pratiques, des savoirs… et qui veulent les valoriser.
Pendant le mois de février, des auditions auront lieu afin de concerter et écouter des acteurs et des personnes du territoire, afin de nourrir la réflexion du groupe-projet.
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